Le Camp Nou étant en rénovation depuis peu, le Stade Olympique Lluis Companys, l’antre du FC Barcelone depuis cette nouvelle saison accueillait le 256e classico de l’histoire du football espagnol. Les Blaugrana, maîtres du jeu comme à leur habitude, vont marquer très tôt leur territoire et ce dès la 6e minute de jeu.
Suite à une tergiversation de la défense de Madrid, l’international allemand Iker Gündogan va battre le gardien Espagnol Képa pour ouvrir le score dans cette explication.

Sereins et très organisés dans la production de jeu, les Catalans sont les plus dangereux dans les phases offensives mais manquent cruellement de réalisme. C’est sur ce léger avantage de 1-0 que les deux équipes rejoignent les vestiaires.

De retour de la pause, les hommes de Carlo Ancelotti, un peu plus timorés et très méfiants dans le jeu proposé en première mi temps, ont repris du poil de la bête. Ils multiplient les offensives, essayent des combinaisons, des frappes de loin à l’instar de Toni Kroos ou encore d’Aurélien Tchouameni mais qui s’heurtent jusque-là à un Marc André Ter Steven dans son match et rassurant dans ses buts.

Cherchant toujours l’égalisation dans ce match, les Madrilènes s’en remettent à leur meilleur buteur en début de cette saison, Jude Bellingham. Le jeune joueur de 20 ans expédie une lourde frappe lumineuse à la 68e minute de jeu qui n’a laissé aucune chance au gardien allemand, impuissant face à la violence de cette frappe.

Profitant du l’accumulation de la fatigue en fin de partie du FC Barcelone, les Méringués vont tenter un dernier coup à la 90e minute +2. Sur un centre bien ajusté de Dani Carvajal, le nouveau meneur de jeu des Madrilènes Jude Bellingham en opportuniste, inscrit le deuxième but. Le Real de Madrid emporte ainsi leur 104e victoire en classico contre 100 pour le FC Barcelone.