Son transfert raté à West Ham vite oublié, Eric Mouloungui tient à prouver à ses dirigeants que sa carrière professionnelle n’est pas révolue, lui qui figure dans la liste des 21 joueurs convoqués par Gernot Rohr, qui croiseront la Guinée Equatoriale le 7 septembre prochain en France. Entretient avec Nice matin.
Après son transfert raté à West Ham vite oublié, Eric Mouloungui a démontré au Parc des Princes à la direction de l’OGCN qu’il a encore du talent. D’autant plus que Gernot Rohr le sélectionneur national vient de lui renouveler son entière confiance, en le retenant dans la liste des 21 joueurs qui affronteront la Guinée Equatoriale le 7 septembre prochain. Nous vous livrons ici l’entretien que l’international gabonais a donné à nos confrère de Nice matin.
Eric, l’équipe n’a pas encore marqué dans le jeu, manque-t-elle de confiance ?
Non car pour obtenir des penalties par exemple, il faut tenter des choses et donc être en confiance. Il ne nous manque que de la réussite.
Face à Dijon, vous êtes dans l’obligation de gagner...
Oui mais il ne faut surtout pas se mettre de pression négative.
Vous avez été un peu chahuté par le public contre Ajaccio...
J’ai un peu l’habitude. Les gens connaissent mon potentiel et sont moins indulgents. Mais les critiques ne me bloquent pas. Je suis blindé. C’est vrai que je suis un joueur un peu imprévisible et que, parfois, j’ai du déchet. Mais quand je réussis, les gens sont contents aussi.
Votre faux départ à West Ham ?
J’ai tourné la page. Et je suis toujours resté 100% niçois.
Vous êtes plus à l’aise dans l’axe, pensez-vous que jouer avec Pentecôte à deux en pointe soit une bonne solution ?
Je pense qu’on peut être complémentaire. Mais après, c’est le choix du coach.