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Les Panthères du Gabon ont débuté leur campagne des éliminatoires de la Coupe du monde 2026 ce jeudi à domicile face au Kenya à Franceville. Menés au départ, ils vont renverser le Kenya et l’emporter 2-1.

Le Gabon recevait ce jeudi après-midi, le Kenya, au stade Rénovation de Franceville pour son entrée en lice. Une citadelle imprenable autrefois, le stade a subit lors de la 5e journée des éliminatoires de la CAN 2023 un affront avec la cuisante défaite face à la RDC 2-0.

Il fallait laver cette mauvaise passe surtout avec le nouveau vent qui souffle désormais au niveau des Panthères du Gabon avec le changement du staff qui a désormais à sa tête un gabonais en la personne de Thierry Mouyouma.

Ça part fort côté Panthères avec une main mise sur la possession de la balle d’entrée. Elles vont multiplier les offensives mais la défense kényane ne cède pas devant les nombreuses incursions de l’attaque gabonaise emmenée par Jim Alevinah et Denis Bouanga, l’un des joueurs les plus en forme du moment côté gabonais.

Les Panthères maintiennent ce rythme soutenu pendant une quarantaine de minute avant d’être surpris sur la seule véritable occasion kényane. M.JUMA va refroidir le stade en ouvrant le score à la 40e minute de jeu pour le Kenya sur une erreur défensive du portier gabonais Junior Fotso. Les visiteurs vont garder cet avantage jusqu’à la mi-temps.

De retour des vestiaires, Thierry Mouyouma a su trouver les mots nécessaires à sa troupe pour changer le coup du jeu. Ça va très tôt payé puisse qu’à la 60e minute de jeu, Denis Bouanga très en vue dans ce match, va rétablir la parité. Franceville est en ébullition, ça exulte en tribune et pousse les Panthères à la victoire qui comme un Phoenix vont renaître de leurs cendres.

Ils maintiennent la pression constante sur le camp de l’équipe visiteuse en essayant de trouver la faille pour mettre le deuxième but. Ce qui va finalement arriver à la 88e minute de jeu où Guelor Kanga délivre tout un peuple en inscrivant le deuxième but des Panthères. La joie est immense, la jouissance est à son paroxysme dans l’antre du stade. C’est sur ce score l’arbitre mettra un terme à cette explication.